Riko Tsumi

Messages : 57 Points : 17 Date d'inscription : 06/08/2010 Age : 33

¤ Riko Tsumi ¤

Nom : Tsumi
Prénom : Riko
Âge : 17 ans
Sexe : (Obligatoire - Encore heureux ^^) Masculin

• Traits Physiques : (5 lignes min)

Grand, mince. Riko a un physique presque athlétique. Basketteur ? Sprinteur ? Coureur (de jupon) ? Et pourtant, pas très sportif, bien au contraire. Le voilà donc haut de 1 mètre et 75 centimètres, ce n'est pas non plus une grande perche mais il n'est pas dans les plus petits. Répartissez maintenant 65Kg sur toute cette hauteur, et oui, il est "fin comme un haricot", comme le dit si bien son père dont il n'hérite pas le physique beaucoup plus musclé. En revanche, du côté de sa mère il hérite de ses yeux violines, couleur peu commune dans le regard d'une personne et qui aura charmé son père.. enfin, on se comprend, ne mélangez pas la mère et le fils...
Revenons justement à ce garçon aux cheveux châtains. Derrière cette apparence commune, et derrière ses vêtements, sur son omoplate gauche, on pourra voir un tatouage représentant une tête de chat aux poils dressés à l'extrême, tirant la langue sur laquelle se trouve une pièce en or avec le nom "Crazy Catz" dessus. Petit souvenir de l'Italie avec Flavio, il en rapportera aussi un sale quart d'heure avec ses parents.

• Traits Psychologiques :

Comment décrire Riko ? C'est un amas de caractères qui se sont figés en lui, témoins de ses plus grands amis. D'abord, il faut savoir que Riko est un amuseur de galerie, un clown auquel il manque le gros nez rouge. Les jeux de mots, les blagues, les petites réflexions dans le dos des gens, il peut vexer, devenir "lourd", et il le sait, mais ne peut s'en empêcher bien souvent, ce qui lui vaudra parfois de biens mauvaises surprises, particulièrement avec Kaname et Yakumo* qui lui feront passer des heures désagréables. Elles vont d'ailleurs lui apprendre le sens des réflexes, au détriment de son corps qui y gagnera plus d'un bleu. Depuis, ses réflexes sont très bons, ne pensez pas le surprendre en lui jetant quelque chose, à moins d'y mettre une bonne vitesse, il aura tôt fait d'esquiver.
Deuxième point important de son caractère, sa timidité. Ou plutôt le contraire. Jeune, il était timide, ayant du mal à engager une conversation. Malgré ses fréquents changement d'école, il lui était toujours un peu difficile de se faire des amis, jusqu'à ce qu'il rencontre Flavio, un garçon qui ne connaissait pas la timidité, et lui a apprit à la surmonter, notamment à travers leurs mini-concerts. Depuis, il a beaucoup plus d'aisance à aborder des inconnus, même s'il n'est pas aussi extraverti que Flavio.
Ensuite, on peut parler de sa sympathie, toujours prêt à aider, il n'hésites pas à faire des sacrifices pour rendre service. Et là, c'est Sofia qui en est le meilleur exemple. Isolée de tous, il aura sacrifié le regard des autres pour qu'elle ne se sente pas seule. Et parfois, il le regretterait presque vu ce qui se cachait derrière cette fille isolée.
Autres détails de son caractère, on peut compter sa patience, sa curiosité, son attention envers ses proches, son refus de respecter les règles, ses passions parmi lesquelles le piano, les poupées, la lecture, les pays étrangers et tout ce qui est original, peu commun.

• Histoire :

Riko est né il y a dix-sept années, sous la chaleur d'un été à Alice Springs, une ville situé au centre du désert australien. Ses parents, deux grands amateurs de voyages, ont du allonger leur séjour sur cette grande île après sa naissance, mais une fois prêt à supporter un voyage, les voilà repartis pour le Japon d'où sont originaires son père et sa mère. Par la suite, ils l'emmèneront avec lui dans de nombreux pays pendant toute son enfance. Ponctuée par les voyages, celle-ci sera aussi très mouvementé à cause de son caractère casse-cou et farceur. Se faisant poursuivre par les marchands ou les voisins en colères, il apprendra vite à se servir de ses jambes et acquerra une capacité à fuir assez développée.

Il ne gardera pas beaucoup de souvenirs de sa petite enfance, c'est à partir de onze ans que ses souvenirs seront les plus marqués grâce à des rencontres originales. Le début se fera à Nagoya, ville natale de son père, il y passera deux années pendant lesquelles il côtoiera à l'école, et même en dehors, Kaname et Yakumo, deux jumelles folles-furieuses amatrices d'arts martiaux. Il récoltera de nombreux bleus pendant cette époque et développera de bons réflexes pour ne plus être surpris par les attaques inattendues de ces deux filles qui lui mèneront la vie dure tout en lui apprenant de nombreuses choses intéressantes car elles n'étaient pas des brutes écervelées mais des filles intelligentes et rusées. Elles lui offriront une pelle après une malheureuse tragédie près d'une falaise, lui apprenant toutes les manières de s'en servir en tant qu'arme s'il était attaqué en jardinant ou en creusa un quelconque trou pour un usage plus ou moins honnête...
Trois ans plus tard, nouveau déménagement, direction Marostica en Italie, située dans la région de Venise. Il va rencontrer ici Flavio et d'autres amis avec lesquels ils formeront un groupe de musique, les "Crazy Catz". C'est là qu'il va se lancer dans le piano et y trouver une vraie passion. Il y trouvera aussi un tatouage sur l'omoplate gauche, représentant le logo de leur groupe, le tatoueur était le frère d'un du groupe, ce qui explique qu'il n'ait pas eu besoin de permission pour ce tatouage.
Enfin, après deux ans, déménagement pour la Russie, à Ryazan, près de Moscou. Il y fera la connaissance de l'étrange Sofia, gothique perverse et effrayante aux premiers abords, qui se révèlent en fait bien pire lorsqu'on la connait mieux. Elle lui offrira une faux à son anniversaire auquel il fût convié. Souvenir de son déguisement de faucheuse. Elle lui apprendra aussi toute les origines de cette faux et de celle qu'on nomme "La grande faucheuse", de quoi donner froid dans le dos. Avant son départ pour Tokyo un an plus tard, il aura droit à un étrange rituel dont il fût sauvé in-extrémis par les bons conseils de Kaname et Yakumo. Heureusement qu'elles lui avaient appris comment se libérer une fois menotté...

Les études étant importante, ses parents vont le laisser en autonomie à Tokyo, repartant en voyage pour l'Alaska. Il est à moitié déçu de ne pas participer au voyage qui promettait d'être très "rafraichissant", enfin au moins, en autonomie, il est tranquille et fait ce qu'il veut, bénéficiant d'un argent de poche important pour payer de quoi manger et financer ses différentes dépenses. Il ne pensait pas qu'au lieu de rester tranquille loin des cours, il découvrirait l'existence de poupées vivantes et s'attacherait à elles.

• Qu'est-ce qui ferait de vous un bon/mauvais médium?

Attentionné, patient (Ben oui, il faut bien ça ^^), prêt à se sacrifier (Il l'a prouvé <3). Trop compatissant, y compris pour les adversaires, ce qui peut se révéler dangereux parfois.

• Comment avez-vous connu ce forum?

Administrateur et l'un des plus anciens membres du forum, depuis la V1...

• Autre : (Facultatif)

Voilà mon histoire. Les posts suivants sont le fruit de mon imagination, des détails pas indispensables donc arrêtez-vous là si vous venez de lire ma fiche.. à moins d'être trop curieux/curieuses

• Code : Validé par Riko

Vous concernant :
• Age : 19 ans
• Niveau de RP : (1 = bon, 2 = moyen, 3 = mauvais; vous pouvez aussi parler en nombre de lignes) Bon niveau je crois ^^
• Présence sur le forum : (soir? week-ends? mercredi après midi? etc) Rien de précis. Plein aprem, juste le weekend, pas pendant deux semaines... je peux pas vraiment prévoir mais je fais de mon mieux

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~ Son histoire : Approfondissement ~

Kaname et Yakumo, les jumelles dangereuses.

Code : Kaname - Yakumo - Riko

Nagoya, Japon. 11 ans après sa naissance.

Premier jour dans une nouvelle école, découverte de nouvelles têtes. Un professeur de français qui doit se gaver de café, une prof d'anglais hystérique, des groupes dans la classe qui se font déjà la guerre, un cours de japonais sans autorité où les rivaux se battent à lancés de projectiles divers allant des bouts de gommes au morceaux de papiers. On a même droit à un duel entre les deux chefs de bande, devant les yeux médusés du professeur soumit. Ah ? Finalement le combat est interrompu, deux filles se sont levées pour s'interposer.

Elles prononcent alors d'une même voix : " Les combats c'est en règle, dehors, dans des lieux choisis à l'avance..."
Les deux chefs se calment et retournent à leur place, mais Riko ne peut s'empêcher de rire de la scène :

- Eh ben ? Deux grands garçons qui se laissent dicter la loi par des petites ? Ce sont vos petites amaaaah !

Il est interrompu par un choc sur chaque épaule qui le fait chavirer en arrière. Il amorti sa chute dans un brouhaha de chaises et de tables déplacées et aperçoit devant lui les deux filles :

- J'espère que tu cours vite...
- ... parce que une fois dehors...
- ... tu regretteras cet affront...
- ... et tu apprendra...
- ... le respect.

Rien que leur façon de parler en alternant suffirait à le faire fuir. Il se méfie, mais n'a pas l'intention de fuir comme une fillette après le cours qui se terminera sans encombre. Le prof aura pu faire cours calmement pendant cinq minutes avant que la fin du cours ne soit annoncée par la sonnerie. Avant qu'il ne sorte de la salle, un garçon, au milieu pendant le cours, avec des lunettes, visiblement, le premier de la classe, l'arrête pour lui parler :

- Bonne chance, et bon courage, tu en aura besoin.

Les autres le regardent d'un œil presque inquiet, comme on regarderait un condamné à mort accompagné par le bourreau vers son châtiment. Une mise en scène ? Une sorte de boycottage pour les nouveaux ? Riko ne se laisse pas impressionner et sort de cours pour aller à la cantine, il doit traverser la cours.

A mi-chemin, les deux jumelles arrivent de chaque côté, le prenant par le bras, posant leur tête sur son épaule. De quoi ne plus savoir où il en était. Mais avant qu'il n'ai pu réfléchir à la chose, il sent un choc dans ses jambes, chavirent en avant, atterrissant sur le dos dans un bruit sourd, ressentant le choc qui se propage tout le long de son corps, lui coupant le souffle. Ensuite, par il-ne-savait-quel-miracle, les deux jumelles l'ont emmené dans le panier de basket après qu'il ait perdu connaissance et il se réveille pendu par les pieds au panier, la tête en bas, les autres élèves le regardant en se moquant ou en le plaignant. Malgré ses demandes d'aide aux professeurs, élèves et compagnie, personne ne daigne l'aider. Il ne mangera pas et ratera tout les cours de l'après-midi.

Le soir venu, alors que tout le monde rentre chez soi, les deux jumelles viennent à lui :

- Alors ? Tu as réfléchi à tes paroles ?
- Euh... non j'ai du mal à réfléchir le ventre vide...

Elles se regardent, comme pour se concerter, relèvent la tête vers lui, lui souhaitent bonne nuit et s'en vont. Son humour n'avait pas l'air de leur plaire.

- C'EST QUOI CE BORDEL !

Il passera la nuit ici et s'excusera le lendemain aux deux jumelles. Une fois décroché, il rentre chez lui et retrouve ses parents morts d'inquiétude qui appellent la police pour leur signaler que leur fils est revenu. Les jours suivants, il restera très silencieux et n'osera pas s'approcher des deux folles.

C'est au bout de trois semaines qu'il ne pourra s'empêcher de faire une nouvelle remarque, il subira le même châtiment et s'excusera une fois le soir venu. Heureusement, aucun professeur ne signalera son absence en cours. Tous étaient de mèche, il en était persuadé. Ou bien elles devaient être des créatures fantastiques prenant le contrôle des autres. Il était sur leur territoire... et ne pouvait s'empêcher de se faire des films. L'année passa ainsi, ponctuée de "punitions" à chaque parole de travers et même lorsqu'il les gênait d'une façon ou d'une autre. Par exemple en ayant une meilleure note qu'elle. Seul le "premier de la classe" semblait avoir obtenu ce droit, il ne savait pas pourquoi, et ne souhaitait pas vraiment le savoir au fond.

L'année suivante, imaginez son bonheur lorsqu'il apprend que les deux jumelles ne vont pas le quitter. Elles l'avaient prévenu l'année précédente qu'ils repartiraient à zéro, qu'elles ne lui en voudraient plus, c'était "sa chance". Malgré ça, il se méfiait des deux jumelles. Mais le jour de la rentrée, un élève de la classe les a provoquées en plein cours de japonais (toujours le même professeur...), c'était un nouveau, Riko sentait bien qu'il était sauvé, elles auraient un nouveau martyr cette année, il commençait bien. Mais à sa grande surprise, les deux filles ne le clouèrent pas au sol, elles acquiesçaient simplement, comme s'il disait vrai, puis se rasseyaient. Riko tapota sur l'épaule d'Ichi (Le 'premier de la classe', c'est un surnom que toute la classe lui donne, ça le définit bien.) pour demander pourquoi les jumelles ne remettaient pas le'autre à sa place. Il lui expliqua qu'ils avaient trouvé le pire, celui la dictait la loi aux jumelles car il parvenait à les maîtriser, il était encore plus impitoyable qu'elles. Au bout de quelques remarques désagrables, Riko ne pu s'empêcher de laisser ses pensées venir à sa bouche : "Eh ben il se regarde dans un miroir depuis tout à l'heure ?"
Chuchotement, bruit de pas approchant, mauvais souvenirs, ravalement de salive et enfin :

- T'as dis quoi Violette ?

Violette ? Oui, ses yeux avait inspiré la brute, mais c'était pas le surnom qu'il fallait donner à Riko, il se leva d'un coup et fit fasse au garçon qui semblait encore plus effrayant de près. Ils se regardaient dans le blanc des yeux, soutenant le regard de l'autre. Finalement Riko lâcha :

- Tu me fait penser à mon chien Bouboule...

Il n'avait jamais eu de chien. Il perdit connaissance comme à la rentrée précédente et se réveilla à l'infirmerie devant une énorme paire de.... devant les jumelles et l'infirmière, Miki-chan. Son nez le chatouillant, il veut se le frotter mais se heurte à un obstacle. Il avait une narine bouchée pour que le sang ne coule pas trop. Les deux jumelles lui expliquent alors en alternant tout les deux mots ce qui lui était arrivé. Il avait pris un bon point dans le nez et, tombant en arrière, avait refait une chute, un bruit sourd, le choc dans tout le corps et la perte de connaissance. Les bras nus des jumelles portaient des bleus qu'elles n'avaient pas d'habitude. Elles lui expliquèrent qu'il y avait eu un combat, elles avaient perdu.
- C'est une brute celui-la, pourquoi vous n'arrivez pas à le battre, vous êtes fortes pourtant non ?

A partir de ce moment là, les relations entre Riko et les jumelles vont beaucoup évoluer et ils vont engager un combat à long terme contre Bouboule, son nouveau nom qui circula bientôt dans les conversations des gens qui se taisaient lorsqu'il approchait.

Riko subit alors un entrainement intensif, les jumelles lui apprenant tout ce qu'elles savaient, leur technique et compagnie. Mais il n'arrivait à rien, le sport et lui, ça faisait deux, et ça perdure. Mais il va développer ses réflexes, si bien qu'il ramenait de moins en moins de bleus sur son corps en rentrant chez lui. Ce qui n'était pas plus mal car les bleus trop nombreux risquent d^'etre touchés, et frapper là où c'est déjà douloureux, c'est désagréable.
C'est en milieu d'année qu'ils finirent par lancer un défi à Bouboule, enfin "ils", disont plutôt "il". Oui, c'est Riko qui a lancé le défi, même s'il avait souhaité renoncé, il était menacé par les jumelles qui promettait de le baptiser Violette aux yeux de toute l'école. C'est donc par un bel après midi d'hiver... sous la pluie... qu'il avait rendez-vous avec Bouboule, devant la moitié de l'école réunis pour supporter en silence celui qui avait baptiser leur ennemi à tous.

Son entrainement lui permit d'esquiver de nombreux coups, si bien que le public commençait peu à peu à le supporter ouvertement, l'encourageant, enrageant encore plus Bouboule. Mais il finit par succomber à la vitesse et un grand point dans le ventre le plia, puis le coucha à terre. Il était toujours conscient, mais une envie de vomir le paralysait. C'est là que les jumelles sont entrées en scène et après un combat tendu, les jumelles étaient victorieuse grâce à Riko qui avait servit de gros rocher pour faire trébucher Bouboule. La vie dans l'école reprenait enfin son rythme et les jumelles étaient devenues plus clémentes envers les autres, permettant que chacun ait les notes qu'il mérite. Mais si elles n'avaient pas la moyenne c'était le professeur qui se confondait en excuse avant de rajouter des points en vitesse.

Une nouvelle année se termina, ils abordèrent alors leur troisième année, toujours ensemble. Ce n'est que lors des vacances d'été qu'ils eurent droit à un évènement spécial. Une fuite. La fuite de le chien de la voisine de Riko. Par la faute de ce dernier et des jumelles. C'est ainsi qu'il durent chercher l'animal pendant plusieurs jours avant de le retrouver au bas d'une falaise en train d'agrandir un trou, visiblement l'entrée d'un terrier. Yakumo aperçu un lapin mort et en partie dévorée à quelques mètres. La conclusion vite faite, Kaname annonça que l'animal devait subir le châtiment ultime. Elles demandèrent à Riko d'aller chercher une pelle pour aider le chien à creuser le trou. Il s'exécuta et lorsqu'il revint avec la pelle, prise chez lui, il retrouva les deux jumelles en train d'élaborer un plan.

En se rapprochant, il comprit ce qu'il se passait. Elles adoraient les lapins, le chien gisait donc déjà par terre, et la pelle allait servir à cacher son corps. Il s'était fait roulé par les jumelles qui lui firent bien comprendre qu'il n'avait pas intérêt à parler. En le faisant creuser le trou (ben oui, pourquoi elles se fatigueraient), elles lui expliquèrent l'utilité d'une pelle. Comment on pouvait s'en servir pour jardiner, cacher un corps, un trésor, assomer quelqu'un, récolter les petits morceaux de... enfin bref, tout un éventail d'utilisations diverses. Une fois le cadavre du chien enterré, ils prirent le reste de la journée pour s'entrainer au maniement de la pelle en combat. Le soir venu il n'arrivait d'ailleurs plus à s'assoir tant il avait prit de coup dans les fesses.

Lors de son départ pour l'Italie, les deux filles lui offrirent une pelle come cadeau d'adieu après avoir gravé sur le manche : " Kaname & Yakumo Penses à nous quand tu devras t'en servir "

Depuis, elles ont sans doute bien changé...

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~ Son histoire : Approfondissement (2ème partie) ~

Flavio et les Crazy Catz, envoyez la musique !

Code : Flavio - Riko

Marostica, Italie. L'année qui suit les évènements de Nagoya.

Lieu : Italie. Durée du voyage : Inconnue.
Voilà tout ce qu'il savait jusqu'à leur départ de Nagoya. Riko faisait confiance à ses parents, il avait eu droit à des cours toute l'année pour apprendre la langue. Il ne la maitrisait pas à la perfection en si peu de temps mais savait qu'il arriverait à se débrouiller. Dans l'avion, ses parents lui parlèrent de la ville où ils résideraient : Marostica. Pas très connue comme ville. Située près de Venise. Là il arrivait mieux à se repérer, ils seraient dans le nord de l'Italie. Il apprit donc que la ville était très réputée dans le pays pour sa partie d'échec géante. Un échiquier à grandeur d'homme était eu milieu de la cité. Une fois tout les deux ans, une partie était organisée en souvenir d'une histoire de mariage dont il ne retint pas tout les détails. Lui retenait juste ce côté vivant de l'échiquier qui devait être impressionnant.
Enfin, les présentations de la ville faites, ils lui parlèrent de tout les lieux qu'ils voulaient visiter et il les écoutait plus ou moins attentif. Bientôt, ils arrivèrent à destination et durent prendre un taxi pour aller dans cette petite cité. Là, ils mirent un moment à trouver une maison, car oui, ils n'avaient rien prévu, comptant juste sur la chance, vivant au jour le jour. Ils tombèrent sur une vieille maison en location où ils résideront pendant deux années.

Nouvelle école, nouveaux visages, nouvelles connaissances à se faire. Il eut un petit soupir de soulagement en constant qu'il n'y avait aucune paire de jumelles dans sa classe plutôt remplie de garçon. Une trentaine d'élève, dix-huit garçons, douze filles, de quoi faire un peu de concurrence. Enfin il n'avait pas vraiment la tête à ça car, comme toujours, de nombreux groupes étaient déjà fais, il y avait déjà des amis qui se mettaient ensemble et lui, il n'avait personne avec qui aller. C'est là que Flavio fait son entrée, dans la classe, un peu en retard, dès la rentrée. Il imaginait déjà le rebelle à sa dégaine et resta bouche bée en l'entendant s'adresser au prof :

- Ciao Davide, comment ça va ?
- Tu es en retard, assis toi rapidement...

Ils se connaissaient ? C'était la seule explication plausible. Personne ne semblait très étonné de ce qu'il venait de se passer, il fit donc mine de rien, laissant ses réflexion dans son esprit. Mais en l'entendant appeler chaque professeur par son prénom, il finit par se poser de sérieuses questions. Était-ce une habitude en Italie ? Non, car tout les autres élèves demandaient "Signore" ou "Signora" (Monsieur/Madame). Quel drôle de personnage ce Flavio, car oui il avait bien retenu son nom quand les professeurs avaient fait l'appel.
Le lendemain, pareil, voir même pire. Dès le premier cours de la journée il s'avança vers Riko et se mit à lui parler comme s'ils étaient amis :

- Ciao Riko, ça va aujourd'hui ?
- Euh... oui
- T'es pas bavard ! T'as perdu ta langue ? Tiens, viens t'assoir avec nous on va bien rire...
- Hmm... d'accord

Il rejoignit donc le groupe d'amis au fond de la classe, ayant déjà une place à côté de Flavio, en plein milieu du reste de la bande. Alors que le professeur faisait l'appel, les présentations se faisaient de chacun. Il y avait Fab' le clown de service (ils risquaient de bien s'entendre), un garçon avec un sourire qui ne quitte jamais ses lèvres, de la malice dans les yeux, et d'après Flavio, un don pour la musique en tant que compositeur. Venait ensuite Ettore, cheveux longs, les yeux à demi fermés, deux de tension, le gars qui traine des pieds et ne se presserait pas même si le ciel devait lui tomber sur la tête, les autres assuraient que ce n'était qu'une apparence, soit disant qu'une fois devant une batterie il avait le diable au corps. Carmine, le mec cool, le genre qui fait tomber les filles, un clin d'œil et hop c'est dans la poche, sa guitare avec lui, il excellait à cet instrument, que ce soit guitare sèche pour draguer ou guitare électrique pour mettre le feu aux tympans, c'était un maître. Bien sûr, Flavio, né pour être chanteur selon ses amis, même si les répétitions sont effrayantes lorsque sa voix joue au yoyo entre l'aiguë strident et le grave du cri d'un ours. Et pour finir, au milieu de ces hommes, la féminité du groupe, Eleonore, sérieuse et pointilleuse, elle supervise tout ce petit monde nommé les Crazy Catz. Un groupe de rock improvisé bien connu dans l'école apparemment.

Riko fut convié à une de leur répétition, l'excitation le saisit et la proposition de les rejoindre le tenta immédiatement. Seulement, lorsqu'il devait trouver un instrument ou des qualités de chanteur, ça se corsait. Il chantait extrêmement mal (c'est toujours le cas) et ne savait jouer d'aucun instrument, Flavio lui conseilla le piano, enfin, le clavier pour le groupe. Il connaissait un professeur qui pourrait lui apprendre à jouer et dans l'excitation, il ne refusa pas et quelques jours plus tard il prenait ses premiers cours...

Ainsi, une année s'écoula bien vite, ponctuée entre les cours de piano et les répétitions du groupe. Il apprenait déjà les morceaux et louait un clavier pour les répétitions et pour s'entrainer. Le clavier appartenait à un jeune de son quartier qui n'avait plus le temps de se livrer à ces plaisir, trop pris par ses études, compatissant à ce désir de créer un groupe, évoquant sa propre expérience à Riko qui s'en retrouva plus motivé que jamais.

L'été venu, les vacances avec, lui et le groupe pouvaient répéter à volonté, et intensément grâce à l'autorité d'Eleonore qui prévoyait déjà de se produire devant un vrai public. Un jour, elle leur annonça qu'ils allaient enfin réaliser leur désir, leur premier concert. Bon, il aurait lieu sur une petite scène d'un bar mais c'était un début, et ils en étaient heureux. Le bar accueillait de nombreux jeunes et la pub du bar et le bouche à oreille finirent par payer. Mais le soir de leur représentation, aux derniers échauffements, la voix de Flavio était devenue pire qu'aux répétitions, ce n'était plus un yoyo mais des montagnes russes. Ils craignaient le pire, mais ne pouvaient reculer, c'est donc la boule au ventre qu'ils entrèrent sur scène devant un public qui les accueillait avec des applaudissements encourageants. La musique commença, Riko se concentrait sur les touches du clavier pour occuper son esprit anxieux et lorsque la chanson devait débuter, tous retinrent leur souffle.... Miracle ! Flavio avait une voix parfaite, une voix grave d'homme, elle ne bougeait pas, ils ne l'avaient jamais entendu chanter comme ça. La suite se passa à merveille et ils eurent droit à une fanfare d'applaudissements. Ils s'offrirent un instant de détente dans le bar pour souffler et au moment de partir, Carmine les laissa partir devant, trop bien entouré pour quitter l'endroit. Ettore n'avait pas changé, toujours aussi lent et calme. Flavio n'en pouvait plus et se plaignait de sa main qui ne pouvait plus supporter une seule poignée de main supplémentaire, en même temps, il avait passé la soirée à courir à droite à gauche pour dire bonjour à untel ou untel, aborder des inconnus pour faire connaissance, discuter avec les employés du bar, agrandir sa liste de contacts sur son portable, bref, il était comme d'habitude. Fab' et Eleonore n'en revenaient toujours pas bien contents de leur succès. Riko de son côté, il était aux anges. Les applaudissements du public ne cessaient de résonnait dans sa tête, telle une agréable mélodie, leurs commentaires, la façon dont ils s'étaient mit à danser de plus en plus nombreux, le miracle de Flavio, c'était merveilleux, inimaginable...

Après quelques jours, le propriétaire du bar qui avait vu son chiffre d'affaires augmenter et les demandes de revoir le groupe se multiplier, il rappela le groupe pour un nouveau concert qui accueillit encore plus de monde que la fois précédente. Les parents de Riko ne l'entendaient plus parler que de ça, il était obsédé par les répétitions, le public qui venait le voir, qui venait les voir...

L'année qui suivit, ils avaient un concert une semaine sur deux à ce bar, ils eurent droit à leur premier rappel, et bien d'autres suivirent, Eleonore travailla sur leur logo et leur notoriété ne cessait d'augmenter. Flavio eût même l'idée folle de se tatouer le logo de leur groupe, grâce au frère de leur limace préférée, j'ai nommé Ettore, Riko demanda son tatouage derrière l'épaule gauche tandis que Flavio le demanda derrière son épaule droite. Ils eurent chacun droit à une belle privation de sortie et un concert dû être annulé. Sans compter le savon que leur avaient passé leurs parents.
Une fois la punition levée, les concerts reprirent et l'année s'écoula tranquillement jusqu'au départ imminent de Riko. Et leur dernier concert...

Concert d'adieu : Bon voyage Riko

Fab' et Eleonore composèrent des chansons spéciales hors de leur registre habituel pour l'occasion. Le jour venu, ce fût une soirée d'émotion dans le bar qui avait accueillit de nombreux souvenirs. Enlaçades, embrassades, pleurs. Il gardera toujorus le souvenir de cette époque, ne serait-ce que sur son épaule....

[Pas de photos cette fois, je voulais au moins pour le tatouage mais rien ne me plaisait ^^' Denkô : Merci ^^]

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~ Son histoire : Approfondissement (Dernière partie) ~

Sofia, la gothique perverse

Code : Sofia - Riko

Ryazan, Russie. La rentrée suivante.

C'est à 16 ans qu'il rencontre Sofia, une fille à l'apparence étrange, presque effrayante. Vêtue entièrement de noir, couleur partagée avec ses cheveux et même ses yeux - si vous parvenez à les apercevoir à travers sa longue chevelure. Ses cheveux recouvraient son visage tombant jusqu'à son buste devant, descendant juste au dessus de ses fesses dans son dos. Plus étanches qu'un voile, semblables plutôt à un drap, ils lui donnaient une allure mystérieuse et intrigante.

Elle devenait effrayante lorsqu'elle sortait un couteau étrange à la lame aiguisée et luisante, le faisant tourner dans sa main, exécutant une dangereuse chorégraphie. Les armes étaient évidemment interdites dans l'école, mais les professeurs et surveillants abandonnaient l'idée de la sermonner lorsqu'elle leur jetait un regard meurtrier derrière son rideau de cheveux qui assombrissait son visage pour accentuer le côté effrayant.
Personne n'osait l'approcher, elle restait seule dans son coin et ne semblait pas en souffrir. Les autres filles la fuyaient encore plus, racontant qu'elle les observait étrangement dans les vestiaires pendant les cours de sport. Certaines disaient même l'avoir vu sourire, une lueur dans es yeux, no'sant même plus se changer avant qu'elle ne quitte le vestiaire.

En conclusion, rien ne poussait à vouloir l'approcher ou la connaître. Pourtant, même s'il ne connaissait personne, Riko ne fut pas poussé par le désir de s'intégrer aux autres. En raison de ses expériences passées, de sa sympathie, sa curiosité... il ne connaissait pas bien la raison qui le poussait à agir ainsi. Il préférait juste s'intéresser à cette étrange fille dont tous disaient du mal, la fuyant sans oser même lui adresser la parole.

Ce ne fût pas une mince affaire, elle ignorait Riko aussi bien que les autres l'ignoraient elle. Plusieurs jours - plusieurs semaines même - s'écoulèrent avant qu'elle ne se méfie plus de lui. Évidemment, elle avait subit des moqueries et autres et n'était pas habitué à ce qu'on s'intéresse à elle, la méfiance l'avait poussée à se cambrer face à cette approche. Riko n'avait pas baissé les bras, et cela finit par payer. Il avait enfin des réponses lorsqu'il lui adressait la parole, même si celles-ci étaient un peu timide. Le reste des élèves de la classe avaient de la même manière finit par l'accepter, ne la voyant plus comme quelqu'un qu'il faut éviter. Ils ne se méfiaient plus quand elle passait près d'eux.

Mais ces victoires ne suffisaient pas au garçon. Il voulait en savoir plus, il voulait que les autres l'intègre. Le temps était seul maître de la réussite, c'est donc ainsi qu'en quelques mois il put enfin tenir des discussions normales et les autres élèves osaient lui adresser la parole. De cette manière, il apprit de bonnes choses concernant son caractère, d'autres un peu moins, notamment sa perversité qui expliquait son étrange sourire dans les vestiaires.

Enfin, alors que la fin de l'année approchait, il avait réussit à réunir un petit groupe d'amis dans lequel Sofia était comptée. Elle faisait partie intégrante de la classe et était même devenue une bonne amie à cause de sa créativité. Poèmes, petites histoires... certes souvent un peu glauque, mais il y avait des amateurs. Et puis du côté des matières littéraires, elle avait des facilités et pouvait aider ceux qui avaient plus de mal, en échange d'une aide pour les maths par les plus courageux car, comme elle le disait si bien en levant son couteau en le serrant fort : " Je comprends rien ça me donne des envies de meurtres !"

Malheureusement pour Riko, il fût surpris en fin d'année. Alors qu'il s'attendait à retrouver Sofia et ses autres amis l'année suivante, déconner avec eux pendant l'été, et tout ce qui va avec... cette fois-ci le voyage ne durerait qu'une année, ils allaient retourner au Japon, et il devrait se poser, prendre le temps de s'intéresser à ses études et cesser les voyage. Ils le laisseraient en autonomie, mais il ne pourrait plus rencontrer toutes ces personnes étranges, différentes, amusantes...

Mais avant ce départ, l'anniversaire de Sofia arriva. Soirée déguisée chez elle. Le parfait manoir qui ne pouvait aller qu'avec elle. Sombre, inquiétant, sordide. Les adjectifs étaient nombreux pour décrire un lieu aussi lugubre. Sofia était déguisée en faucheuse, la mort. Ils eurent même droit à un moment d'explication sur la "grande faucheuse" et les nombreuses légendes concernant la mort...

A la fin de la soirée, Riko qui était le dernier à sortir se vit offrir la faux que la jeune fille avait gardé toute la soirée. Elle lui rappela son rôle qui brise le lien entre l'âme des morts et leur corps pour les laisser rejoindre le ciel. Elle lui expliqua aussi que c'était quelque chose de précieux à ses yeux et l'invita à revenir le lendemain, seul cette fois-ci, pour lui parler de choses importantes. Il acquiesça et promit de revenir le lendemain.

Le jour venu, il retourna chez Sofia. Elle l'amena dans la cave du manoir. Il se méfiait alors, même s'il la connaissait bien à présent, il n'était pas pour autant rassuré. Il avait raison, l'escalier menant à la cave donnait sur un long couloir qu'ils traversèrent pour apercevoir un cercueil à travers l'entre-bâillement d'une porte inexistante. Sofia le mena dans la pièce et sur le verre étaient disposés deux coupes et une bouteille de vin :

- Buvons un peu de sang avant de libérer celui qui dort ici...

Riko haussa un sourcil, se posant toujours de nombreuses questions, puis il enfila ce simple verre de vin. Rien ne se passait, Sofia le regardait, il la regardait, elle ne quittait pas son visage, le sien devenait flou, elle affichait son sourire si effrayant, lui sentait son corps qui ne répondait plus, ses jambes fléchissant, ses paupières lourdes. Oui, il n'y avait pas que du vin dans son verre. Lorsqu'il se réveilla, il était sur un lit sans matelas ni drap, un vieux lit en fer. Il était torse-nu et le lieu dégageait une étrange sensation. Clignant plusieurs fois des yeux il reprenait ses esprits et constatait la présence de différents outils pointues, tranchants... une salle de torture ! Et en face de lui, Sofia avec le sourire au lèvre et son couteau à la main :

- Enfin je vais voir la couleur de ton sang ! Je suis certaine qu'il n'est pas comme les autres... je pourrais même goûter.. haha !

Riko avait les yeux écarquillés, il était littéralement effrayé, ne pensant même pas qu'il pourrait s'agir d'une blague, il la connaissait assez pour la savoir amatrice de blague, mais aussi tout à fait capable d'une telle chose. Elle s'approchait, couteau en main, fixant Riko, puis son bras, de nouveau Riko, et son bras encore, elle ne le quittait même plus du regard. Elle approcha, avança son bras, posa la lame sur celui-ci et soudain lança un regard effrayé à Riko :

- Tu as entendu ?

Il n'arrivait même plus à réfléchir ou parler et garda le silence en fixant le couteau sur son bras.

- Le cercueil, j'ai entendu le cercueil grincer ! Il y a quelque chose ! Il est venu ! Il a senti le sang qui allait couler ! Il doit être assoiffé, il a faim.. très faim... trop faim !

Elle reposa le couteau, détacha Riko et l'aida à se relever.

- Il va nous sucer le sang, il en laissera pas uen goutte, on va mourir... va voir s'il est bien là !
- Eh ?
- Va voir s'il est là où bien...

Elle reprit le couteau en main et Riko s'exécuta, avançant prudemment dans le couloir, jetant un coup d'œil au cercueil. Rien. Le cercueil était fermé. Soudain vint une idée à Riko :

- Je l'ai vu. Il s'appelle Vladr, c'est une connaissance à moi, il vient de partir en me voyant, il va chercher du sang ailleurs j'imagine.
- Hein ? tu le connais ? Tu connais le vampire ?
- Bien sûr.
- Tu me le présentera un jour ? Hein ?
- Oui, pour ton prochain anniversaire ça te va ?
- Parfait ! J'attendrais avec impatience !

Heureusement qu'elle était naïve et obnubilée par tous ce qui a un rapport avec la mort, les vampires, fantômes et autres êtres de la nuit, plus ou moins maléfiques. Il prit rapidement congé de son amie et se promis de ne pas revenir seul chez elle.

Quelques jours plus tard, l'année se terminait. Un mois après, c'était le départ pour le Japon :

- Riko ! Menteur ! Tu ne pourra pas me présenter le vampire !
- Si je ne te le présentes pas à cet anniversaire ce sera le prochain, et ainsi de suite, de toute façon il est immortel, il attendra. Et qui sait, peut-être qu'il pourrait venir sans moi...
- C'est vrai ? Tu lui dirais de venir même si tu peux pas être là ?
- Oui.
- Merci !

Ça tenait du mensonge, c'est vrai, mais il préférait ça plutôt que d'être de nouveau surprit par une quelconque magouille pour voir son sang...

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