Angelica Mc Dowell ~ La Déesse

• Traits Physiques : Tout d’abord, il faut savoir qu’Angelica a toujours été surnommée "La Déesse", puis "L’Ange Déchue". A l’origine de ce premier surnom, il y a sa mère, qui après 3 garçons, avait eu ce qu’elle voulait : une fille. Un Ange tombé du ciel, SA déesse. Angelica grandit avec les plus belles robes, les plus beaux accessoires. Très jeune, sa mère commença à la maquiller, pour sublimer sa beauté naturelle : un trait de crayon, un d’eye liner, du mascara. Angelica perpétua elle-même, plus tard, cet acte. Parlons donc de ses yeux.

Leur couleur rose-violette est plus qu’inhabituelle, et, selon sa mère, c’est ce qui fait le plus grand de son charme. Son regard est envoûtant, paralysant, elle pourrait faire ce qu’elle veut des gens avec. On ne peut les manquer, de par leur couleur premièrement, et ensuite par leur maquillage, comme dit précédemment. Son nez et ses lèvres étant fins, on ne fait attention qu’à ses prunelles. Quand elle sourit franchement, de ses lèvres qu’elle ne prend pas la peine de maquiller car, naturellement, elles ont une couleur rouge sang, son regard s’illumine et alors la jeune fille entière semble entourée d’un aura mystique. Ne lui manque plus que des ailes.

Son prénom ne sied guerre à une autre personne plus qu’à elle. Tout comme on peut imaginer les Anges, elle a des cheveux d’un blond doré, resplendissant au soleil. Ceux-ci sont vraiment très longs, dépassant ses fesses, ils s’arrêtent au milieu de ses cuisses. A défaut d’être bouclés, ils sont absolument lisses, soyeux, doux. Ils sentent toujours bons, sont toujours impeccables. Tous les matins, elle se les lave, les sèche, puis laisse à sa mère le bonheur de les lisser et de les coiffer. Parfois, elle y met une broche, ou une pince en forme de papillon, mais jamais elle ne les attache. Et jamais elle ne penserait à les couper. C’est ce qui fait son plus grand charme, dit encore sa mère.

Descendons un peu. Son cou est fin, petit, doux, dégagé, les mèches de cheveux entourant son visage s’en éloignant. Elle y dépose chaque matin quelques gouttes d’un parfum fruité. Tout ceci réuni attirerait même le plus réticent des vampires. Elle le pare souvent de ras de cou.

Continuons. Ses épaules ne sont pas larges, genre "allure camionneur" malgré le fait qu’elle pratique du sport pour garder un corps parfait (en compensation des tonnes de sucreries qu’elle mange). Elle ne craint pas de les montrer, ses cols sont donc assez variés. Elle n’a pas non plus peur de dévoiler les formes de sa poitrine. Elle est belle, elle le sait, sans pour autant s’exhiber elle s’habille avec ce qui lui fait plaisir. Elle n’a pas à craindre de réflexions sur son physique, elle est parfaite.

Concernant sa tenue vestimentaire, durant l’adolescence elle a choisi son style. Avant, c’était sa mère qui l’habillait. Mais Angelica, ce qu’elle aime, c’est le cuir surtout. Si un modèle de d’habit lui plait en magasin et qu’il n’est pas en cuir, elle ira le faire faire dans sa matière préférée. Elle aime les vêtements près du corps, sans pour autant gêner ses mouvements. C’est un juste milieu dont elle a maintenant l’habitude. Côté couleur, rouge sombre, noir et gris lui vont à merveille. Elle a radicalement laissé tomber les couleurs pastelles dont la vêtait sa mère. Lui avouer fut difficile mais elle y arriva. Ce qu’elle continue à mettre, en revanche, ce sont les accessoires en forme de papillons. Elle adore mettre une énorme pince papillon sur le devant de ses habits, qui sont, le plus souvent, des robes, suivent des jupes avec des corsets, bustiers, hauts, mais jamais de simples tee-shirt avec des pantalons. Tout ce qu’elle porte est stylé, a été long à faire, et n’est pas, foncièrement parlant, à la portée de tout le monde. Mais ce n’est qu’un détail, dont elle ne se vante pas.

Elle est toute fine, ses jambes ainsi que ses bras sont longs. Elle a des doigts "de pianiste", cette sensation accentuée par ses ongles longs eux aussi, parfaitement manucurés en ovale, pour la féminité. Sur ceux-ci, elle a l’habitude d’appliquer du vernis noir ou rouge foncé.

Pour terminer, Angelica porte toujours des bottes en cuirs noires. Elle en a de plusieurs tailles, mais ses préférées, ce sont celles qui montent jusqu’à ses cuisses. Sa collection est impressionnante.

Angelica mérite donc tout aussi bien son titre d’"Ange Déchue" que celui de Déesse, l’un équilibrant l’autre. Au fin fond d’elle, c’est un concentré de gentillesse.

• Traits Psychologiques :Traits Psychologiques: Angelica est, depuis sa plus tendre enfance, très liée à sa mère de part le fait qu’elle soit la seule fille de la famille. Celle-ci l’a toujours remise dans le "droit chemin" quand Angie commençait à devenir "garçon manqué". Ce n’est pas pour ça qu’elle est "une fille", sous entendu "comme les autres" (ou "type", comme vous voulez). Les excès de tendresse de ses amies l’énervent, leurs bisous, leurs câlins, elle, elle se contente d’un signe de la main pour dire bonjour et au revoir, et un léger "bye bye" détaché sur msn. Elle ne dit ni "je t’aime", ni "je t’adore", elle s’intériorise énormément. Il n’y en a pas forcément de raison.

La jeune fille peut-être très loquace, ou très tacite. Suivant son humeur, l’heure, le sujet de conversation, les personnes avec qui elle est. On ne peut pas dire qu’elle soit timide, mais jamais elle ne dira le premier mot. Passé ce cap, elle s’ouvrira tout doucement, comme une fleur, tout en gardant ses distances et en restant à sa place. Ce n’est pas vraiment quelqu’un d’accessible, néanmoins, elle sera disponible pour n’importe qui qui aura besoin d’aide.

Elle déteste être seule. La solitude lui fait peur, la rend folle intérieurement, la détruit, aussi, elle sort souvent, avec ses amis, son chien. Elle rêve devant des vitrines de magasin, s’extasie devant les nouvelles avancées technologiques. Elle est comme tout le monde, quoi. Sa famille est riche mais elle se contente "de peu", à part les habits, elle ne demande rien. Même si parfois, elle aimerait avoir cette poupée au fond de ce magasin sombre…

Elle aimerait l’habiller, la chouchouter, la coiffer, tout comme sa mère l’avait fait avec elle. Elle, elle n’aime pas les enfants, en général, elle n’aime pas les entendre crier, pleurer … Elle aime le silence et les enfants en sont incapables. Mais une poupée, c’est parfait non ? Angelica est un peu comme une poupée parfois. Elle se perd dans une nostalgie d’un autre monde, devient raide, les yeux vides, on ne sait pas à quoi elle pense, mais ça doit être très intéressant puisque plus rien ne permet de la ramener à la réalité. C’est une grande rêveuse, penseuse, derrière l’insaisissable au premier abord il y a quelqu’un qui ne demande qu’à être entourée, protégée.

Elle est d’un calme extraordinaire, certains la diraient coincée mais ce n’est pas cela… Plutôt, que la folie, pour s’amuser, ça l’énerve, lui donne mal à la tête. Elle souffre presque continuellement de maux de tête mais ne le montre pas, pour ne pas qu’on s’inquiète pour elle… Elle le voudrait mais ne le peut pas, aussi, quand on lui demande si ça va, elle répond oui, toujours, même quand les larmes lui montent aux yeux à cause d’une douleur, quelconque soit-elle. Elle ne veut pas être le nombril du monde, elle veut passer inaperçu, elle voudrait parfois se replier sur elle-même.

On pourrait l’assimiler à une huître. Mais ne riez pas. Parce qu’une huître, qu’est-ce que ça contient ?

• Histoire : Il n’y a rien d’extraordinaire dans la vie d’Angelica. Elle est la petite dernière après ses trois frères, Andrew, Dylan et Thomas. Ils ont respectivement 22, 19 et 17 ans et demie. Naturellement, après 3 garçons alors que sa mère avait toujours voulu une fille, elle vint au monde comme "un miracle". Et depuis le berceau, dans toute la famille, on la surnomma "Déesse". Malheureusement pour la mère de la jeune fille, ce n’était pas un prénom, aussi le magnifique enfant qui naquit dans la famille par un beau jour d’été fut baptisée Angelica. Cette famille, elle est Anglaise. Andrew est le seul à être né là-bas car, alors que la mère des 4 enfants était enceinte de Dylan, elle déménagea avec son mari. Leur père avait 27 ans, leur mère 22. Et ils partaient pour l’inconnu, ou tout au moins… le peu connu.

Ils avaient appris la langue, parfaitement. Pour l’apprendre parfaitement à leurs enfants, nés là bas. Ils commençaient déjà à parler bilingue à Andrew. Car il ne fallait pas oublier d’où ils venaient. Chaque enfant apprit la langue de son pays, et la langue du pays qui l’accueillait. A la maison, ils conversaient en Anglais.

Angelica grandit sans beaucoup jouer avec ses frères, puisque sa mère était toujours dans le coin. Et elle pensait qu’être avec eux était interdit. Et les filles, quel ennui ! Elles jouaient à des jeux idiots, se prenaient pour des princesses. Mais c’était elle la princesse, non ? Elle se tenait droite, hautaine, dans son coin, et lorsque l’on essayait de lui parler, elle s’en allait, sans mot dire. Elle regardait les garçons jouer ensemble, ils n’étaient pas pareils. Qu’est-ce qui les rendait si différents ?

Un jour, l’institutrice d’Angelica insista pour rencontrer sa mère. Celle-ci accepta, elles se rencontrèrent. Parlèrent de l’intégration difficile d’Angelica. Il n’était questions que du comportement de la gamine. Pourquoi ne jouait-elle pas avec les autres enfants ? Pourquoi ne leur parlait-elle même pas ? Ce n’était pas par racisme, puisque la petite acceptait volontiers des gens assis près d’elle, où d’aider ses camarades lors d’activités. Angelica, devant les deux adultes, dû s’exprimer. Elle sût choisir ses mots, elle avait eu plus que le temps d’y réfléchir. Elle réussit à vider son sac, elles comprirent. Sa mère lui expliqua qu’elle voulait qu’elle reste sa fille, qu’elle laisse pousser ses cheveux, qu’elle s’habille avec de jolies robes, qu’elle joue à la poupée ; pas qu’elle devienne un garçon. La petite comprit… et les barrières furent levées. Elle se mit à jouer avec tout le monde, se forçant de supporter les filles, souriant un peu plus chaque jour. Angelica avait toujours été une princesse, mais ne l’avait jamais joué, et c’était bien plus drôle qu’elle ne le pensait ! Chaque jour elle s’embellissait, elle se faisait des amis, elle devenait un peu plus elle-même. Et le temps passa … ~

16 ans. L’enfant est maintenant adolescente. Elle est tout ce que sa mère voulait. Celle-ci en est fière. Enfin, Angie connaît les garçons. Les filles sont moins chiantes, elles ne jouent plus, elles parlent. De quoi ? De garçons. Et les garçons parlent de jeux vidéos. Ca la fait rire, Angie. Changer d’atmosphère parfois, sortir. Parfois encore, elle se tient seule dans un coin, et regarde tout le monde. Elle voit ses amis, leur sourit, leur fait un clin d’œil, un signe de tête. Ils la regardent et savent que si elle est là, c’est qu’il y a une raison. Et qu’elle ne veut pas être dérangée. Ils la laissent seule.

Pourtant, elle aurait tellement besoin que quelqu’un vienne…

Un jour, elle s’endormit. Sans s’en rendre compte. Elle se sentait encore réveillée, il y avait l’odeur de la cour, le bruit, ses amis. Elle les regardait, quand, d’un seul coup, elle vit quelqu’un s’approcher d’elle. C’était … une fille, toute, toute petite. Et en fait … Ce n’était pas une fille. C’était sa poupée, celle qu’elle voulait depuis tellement longtemps … Celle qu’elle regardait, dans la vitrine… Se réveillant en sursaut par le son de la fin de la pause, elle y pensa toute l’après midi. En rentrant chez elle, elle passa par la boutique, y jeta un coup d’œil. La poupée était là. Angelica l’acheta. Et se mit à prendre soin d’elle comme sa mère l’avait fait avant pour elle.

• Qu'est-ce qui ferait de vous un bon/mauvais médium? Elle aimera ses poupées à un point inimaginable, sera toujours là pour elles, leur donnera sa vie.

• Comment avez-vous connu ce forum? Encore un compte de Stella ~

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Vous concernant :

• Age : 17 ans
• Niveau de RP : 1 voire deux, je ne maitrise pas bien Angelica
• Présence sur le forum : Lorsque j'ai un RP à répondre, sinon vous pouvez joindre Stella III