And Into The Well...

¤ Elise ¤

Nom : Elise Esprit artificiel : Id Marque : Aucune Nombre de création : Première et dernière

• Pouvoir: Est capable, sept fois lors d'un éventuel combat, de pousser les médiums/poupées, à exécuter une action particulière. Ces derniers prendront cela comme étant leur instinct, ce qui éloigne le moindre soupçon, rendant, à leurs yeux, la poupée complêtement innofensive.


• Traits Physiques : De longs cheveux blonds savamment attachés derrière sa tête, ses yeux clos ne pouvant trahir ses émotions... Ainsi, le visage de la poupée est, la plupart du temps, vide de la moindre expression, donnant ainsi l'étrange impression qu'elle est plongée dans un sommeil sans fin, attendant son retour...

Vêtue d'une longue robe mixant noir et rouge profond, un léger headress des mêmes couleurs ornant sa chevelure, on pourraît dire à la voir ainsi qu'elle se situe du "côté sombre" de l'histoire. En effet, si vos prunelles daignent s'attarder sur les détails, vous vous rendrez alors compte que des chaînes brisées s'y trouvent, pendant mollement dans le vide, s'agitant quelque peu aux désirs du vents. Littéralement, cela pourraît passer pour une sorte de pacte, bien que cela n'a pas grand chose à voir... Certes, cela est la preuve qu'elle et lui sont liés, du moins lorsque les chaînes étaient entières... A présent...


• Traits Psychologiques : (5 lignes min)


• Histoire:

Il y a longtemps, à l'époque où les Sorcières étaient encores persécutées, maltraitées, brûlées et victimes d'autres tortures plus abominables les unes que les autres, et où la Peste Noire faisait rage, se déroulait un bien étrange récit...


Loin dans la forêt, deux enfants discutaient et riaient, assis sur le rebord d'un puits surmonté de roses. La jeune fille, Elisabeth Von Wettin, était l'enfant de Nobles, retenue chez elle sans aucun moyen de Sortie, ou presque. Le garçon, März Von Ludowing, n'était que la progéniture d'une femme vivant à l'écart du village, soignant les personnes atteintes de quelque maladie. Comme on aurait pu s'y attendre, ils ressentaient des sentiments tout particuliers...


Il est à savoir, que quelques mois auparavant, la petite Elisabeth, atrappant un rhume après avoir joué dehors, avait frôlé les frontières de la mort. Ses parents, désespérés, l'avaient emmenés de toute urgence chez "La femme Sainte", afin de leur voir accorder une dernière chance, avant que leur fille tombe définitivement dans les bras de Thanatos. Bien que persuadés que les soins donnés ne porteraient pas leurs fruits, il en fût tout autre. L'enfant était belle et bien guérie. Cependant, afin d'éviter qu'une telle horreur se reproduise, elle était désormais sous l'obligation de rester confinée dans sa chambre...

Peu à peu, elle perdit sa joie de vivre, pensant sans cesse à ce garçon avec qui elle avait discuté lors de sa convalescence. März, c'était cela...?


Les jours passaient, mornes, monotones. Elisabeth était rongée par la tristesse et l'ennui. Et, un soir, tard après le coucher du soleil, alors qu'elle se trouvait assise sur le rebord de son lit, jouant lascivement avec une poupée à son image, elle sentit quelqu'un taper au carreau de sa fenêtre. Lui, oui, März Von Ludowing, se trouvait là, devant elle. Redoutant quelque peu la réaction de ses parents, mais ne pouvant laisser passer cette occasion, elle s'y précipita, avant d'ouvrir le battant et de saisir la main qu'il lui tendait. Tout ce temps sans voir l'extérieur... Combien de jours s'étaient écoulés depuis cette captivité.


Leurs rires résonnaient alors qu'ils s'enfoncaient profondément dans la forêt. La jeune fille émerveillée par la beauté des lieux, ne cessait d'afficher une expression de joie, la première qu'elle avait ressentie depuis bien longtemps.

Alors, les enfants arrivèrent devant une église. Face à elle se trouvait un puits, autour duquel on pouvait distinguer quelques pousses.


- Ce sont... Les roses sauvages que j'ai plantées... Il y a longtemps...


März sourit, et l'invita à s'asseoir sur le rebord du puits. Ils restèrent ainsi durant quelques bonnes heures, puis vint le temps pour Elisabeth de rentrer chez elle, avant qu'ils ne s'aperçoivent de sa petite escapade. Et cela dura. Ne s'arrêta pas. Sauf...


Cette nuit-là était la dernière, et ils le savaient tous les deux. D'ici peu, Elisabeth aurait treize ans. Un âge important selon son père, l'âge des études, comme il disait. Elle partirait ailleurs, loin d'ici, et il était, bien entendu, impossible pour März de l'accompagner... Les larmes aux yeux, elle lui tendit alors sa poupée, celle lui ressemblant trait pour trait. Ainsi, il l'aurait toujours près de lui. Puis, elle partit, ne pouvant retenir ses sanglots.

März pleurait également, regardant la seule personne qu'il avait aimée s'éloigner, serrant contre lui la poupée inexpressive. Puis, il reprit sa route vers l'église. Seule Elisabeth en conaissait l'existence. En effet, avec le temps, sa mère avait acquis la réputation de sorcière. Aussi avaient-ils été dans l'obligation de se cacher.


- Eh, ce ne serait pas le fils de la sorcière de Thüringen?
- Ooh, c'est effrayant ~


N'entendant pas les voix des deux hommes, il continua sa route. Cependant, ils l'arrêtèrent, et, de leurs voix doucereuses, lui demandèrent de les conduires à "La femme Sainte". Naïf, il se laissa prendre au piège, et les conduisit ainsi chez lui.
Les doutes ne l'envahirent guère alors qu'ils grimpaient les escaliers. Alors, ils atteignèrent le palier. Le garçon s'avança vers sa mère.


- Je suis rentré, Maman.
- Ah, Mär- ... Qui sont ces hommes?!
- UWAAAAAAAAAAAH!


Son cri résonna à travers les murs, puis dehors, avant de s'éteindre au fond du puits. Les yeux de la mère pleuraient des larmes invisibles, comment avaient-ils pu... Saisissant une épée accrochée au mur, alors qu'ils envoyaient la poupée rejoindre son fils, elle tenta vainement de les attaquer... Cela était inutile, elle parvenait à peine à tenir l'arme convenablement... Ainsi, elle fût capturée par les deux hommes, et finit brûlée vive sur la place publique du village, clamant à tous vents que, puiqu'il en était ainsi, elle ferait tout pour devenir une véritable sorcière.


~~~~~~~~


"Je ne veux pas mourir ici"
L'enfant sera...
"As-tu encore des choses à faire sur cette terre?"
Le temps est Mûr...
"Oui..."
Portant en elle deux flammes...
"Elle se réveillera bientôt..."


Au fond du puits venait de se produire un évènement anormal. La fusion de l'âme de März avec le corps d'Idolfreed Enenbergh, navigateur, Conquistador, qui y était tombé par mégarde. Celle de Therese Von Ludowing, mère dudit März, avec la poupée laissée là. Les deux perdirent toute trace de leur passé. Deux nouvelles personnes, l'incarnation de l'Instinct... Menées par leur sombre vengeance...


• Participez-vous au Alice Game? Oui [ ] / Non [x] [Cochez avec 'x' votre réponse]

• Si oui à la question précédente, quels sont vos qualités et défauts face à l'Alice Game ? [Bonus]

• Comment avez-vous connu ce forum? (Si c'est par un partenariat, dites avec quel forum; un(e) ami(e), qui?)

• Autre: Je viens de m'apercevoir que Stella III avait Elise comme avatar... J'ignore ce qu'il me faut désormais faire, mon personnage étant directement inspiré, si ce n'est presque copié, de la Poupée Originale, personnage à part entière de l'histoire contée dans l'album Märchen, de Sound Horizon...

• Code : A venir ~

Vous concernant :

• Age : Treize ans.
• Niveau de RP : Bon
• Présence sur le forum : Quotidienne ~

Pour le moment, le début de ta fiche me plait pas mal, mis à part quelques petites fautes que j'ai pu constater. Par exemple : "atrappant" s'écrit "attrapant". Relis-toi bien ! (;

Concernant l'avatar, parles-en à Stella. Elle trouvera bien un arrangement. Là-dessus, je n'ai pas mon mot à dire. ~

Autrement, bienvenue et bonne continuation dans ta fiche ! ♥

Et également, désolée du temps de manifestation...

Sound Horizon ... j'ai laissé passé ça.
Bienvenue, Elise. Tu es partie? On a un peu tous déserté le forum et avec une présentation telle que la tienne, j'en suis carrément dégoutée.

bienvenue ^^
Stella: TU as déserté le forum moi je vient pratiquement tous les jours U.U (mais comme j'étais toute seule je m’ennuyais ferme)